Lalalala je ne sais pas. Un truc pas cool & débile.
Moi je sais ce qu'il s'est passé. Ecrire, ça faisait longtemps. Tellement qu'il s'en est passé des choses. Phrases débridées de sens, surtout pour vous. Surtout pour une page internet que personne ne lira. Après tout on s'en fou. J'ai aimé aller là-bas, où je ne retournerais jamais, où tout était si simple et si doux, une bulle de stratosphère loin de l'enfer. [Ne me reprochez plus mon manque de rimes, je ne comprendrais plus]
Moi je sais ce qu'il s'est passé. Ecrire, ça faisait longtemps. Tellement qu'il s'en est passé des choses. Phrases débridées de sens, surtout pour vous. Surtout pour une page internet que personne ne lira. Après tout on s'en fou. J'ai aimé aller là-bas, où je ne retournerais jamais, où tout était si simple et si doux, une bulle de stratosphère loin de l'enfer. [Ne me reprochez plus mon manque de rimes, je ne comprendrais plus]
Mais c'était des putain d'réverbères elle m'a laissé dans la bouche un vieux goût amer
Les alinéas ne servent à rien, ça fait joli, ça met de l'espace, ça creuse l'air, mais ça ne sert à rien.
Et là t'a envie d'écouter des chansons triste, pour alimenter ce qui n'existe pas, pour alimenter ce profond désir. La solitude t'habite, mais tu recule et t'enfuie, toi qui la recherchais si souvent voila qu'elle t'effraie, tu ne fais plus qu'un avec elle ... pourtant tu ES ce paradigme tu SENS cet alinéa ... au plus profond des entrailles de chacun on sait ce qui se trame, quel sera le chemin, et pourtant on se voile la face car on trouve ça si simple plutôt que d'assumer ce que l'on sait déjà. On se doute mais on resserre bien les oeuillères au cas où un once de vérité pointerai son nez. Il faut vous y faire, l'hypocrisie est le propre de l'Homme, ce qui nous définit chacun. Peut-être que j'ai tord, peut-être que j'ai raison.
Et là t'a envie d'écouter des chansons triste, pour alimenter ce qui n'existe pas, pour alimenter ce profond désir. La solitude t'habite, mais tu recule et t'enfuie, toi qui la recherchais si souvent voila qu'elle t'effraie, tu ne fais plus qu'un avec elle ... pourtant tu ES ce paradigme tu SENS cet alinéa ... au plus profond des entrailles de chacun on sait ce qui se trame, quel sera le chemin, et pourtant on se voile la face car on trouve ça si simple plutôt que d'assumer ce que l'on sait déjà. On se doute mais on resserre bien les oeuillères au cas où un once de vérité pointerai son nez. Il faut vous y faire, l'hypocrisie est le propre de l'Homme, ce qui nous définit chacun. Peut-être que j'ai tord, peut-être que j'ai raison.
Note personnelle : Penser à tuer le moustique.
Ouais ça rime à rien, il faudrait pourtant demander à Cha' ce qu'elle en pense, elle pense toujours bien elle.Il y a un temps pour tout. Un pour faire, un autre pour regretter. C'est pour ça que j'ai des cachets pour tout : Certains pour grandir, d'autres pour oublier.
Même les grands ont besoin d'artifices, et pourtant ils ne s'en rendent pas compte.
Même les grands ont besoin d'artifices, et pourtant ils ne s'en rendent pas compte.
Un point. Une virgule. Une parenthèse. Un point virgule. Un point d'exclamation.
C'est si facile des fois, de tout dire. On est des rebelles. Même qu'on comprend rien à ce qu'il y a d'écrit, comme d'habitude tu me dira. Tu as raison, la première personne du singulier est difficile à assumer, mais comme je le dit souvent, je ne suis pas de ceux qui ont du courage à tout rompre, je préserve, quitte à attendre une ouverture.
Tu sais Marcus on peut pas forcer les gens à aller de l'avant . Dixit celle qui se reconnaitra, qu'elle me pardonne mon manque d'originalité. Enfin ce "Je" tant attendu, il t'en aura fallu du temps, mais au pire on s'en fou.
Tu sais Marcus on peut pas forcer les gens à aller de l'avant . Dixit celle qui se reconnaitra, qu'elle me pardonne mon manque d'originalité. Enfin ce "Je" tant attendu, il t'en aura fallu du temps, mais au pire on s'en fou.
[ Et Un Deux Trois Perdus Dans Les Bois
Quatre Cinq Six Je Me Fends Au Supplice
Sept Huit Neuf Y'avais Trop De Place
Dix Onze Douze Il Fallait Que Ca Bouge ]
Quatre Cinq Six Je Me Fends Au Supplice
Sept Huit Neuf Y'avais Trop De Place
Dix Onze Douze Il Fallait Que Ca Bouge ]
Arrêter de vagabonder, et reprendre les choses au sérieux. C'est quoi ce mot ? Un pléonasme du contraire me disait-il. On s'en fou.
Regarder au loin et se demander si le chemin parcouru en valait la peine, après tout on ne peut pas forcer les gens. On ne peut pas forcer les gens. On ne peut pas forcer les gens. Non on ne pourra jamais forcer les gens à rester devant .
Maestro
Regarder au loin et se demander si le chemin parcouru en valait la peine, après tout on ne peut pas forcer les gens. On ne peut pas forcer les gens. On ne peut pas forcer les gens. Non on ne pourra jamais forcer les gens à rester devant .
Maestro
Mathilde est morte il y a bien longtemps, elle flotte à la dérive toute vêtue de blanc. Un beau jour elle ne s'est plus levée, trop étourdie, elle a juste oublié de respirer. Mathilde a toujours été comme ça, impatiente et beaucoup trop pressée.
Marcus lui est différent, il est celui qui a survécu à la fille, il rêve de plus grand. Et depuis Marcus pleure mais veut rester solide pour ne pas que Mathilde s'en veuille.
Des mots laissés en partant.
Je savais bien que ton coeur ne se relèverais pas que tu m'en voudrais de n'être pas resté pour toi mais montres moi que j'ai eu tord Marcus prouves moi que la vie c'est de l'or Je savais bien que ton coeur mourrais en même temps que le mien mais rassures toi selon la loi il ne peut pas crever deux fois Je ne reviendrais pas Marcus c'est comme ça ne m'en veut pas ce monde était pas vraiment pour moi tu sais Marcus on ne peut pas forcer les gens à aller de l'avant quand ils n'ont plus rien, quand ils n'ont plus rien dans le sang.
Mathilde et Marcus perdus dans le néant. Elle qui ne risque plus rien de pire et lui qui attend son retour de l'infiniment blanc.
Marcus pleure toujours de ne pas avoir pu la retenir et Mathilde mange les vers à présent. Marcus a encore tant de choses à dire à la fille qui dort maintenant. Maintenant. Tu savais bien que mon coeur ne s'en relèverai pas et que je t'en voudrais de n'être pas resté pour moi. Je ne dis pas que t'as eu tord Mathilde, mais pour moi ta vie étais de l'or. Tu savais bien que mon coeur mourrait en même temps que le tien, mais rassure toi, selon la loi il ne peut pas crever deux fois. Tu ne reviendras pas Mathilde, c'est comme ça mais pour moi ce monde ne pouvait être sans toi... Mathilde, on peut toujours pousser les gens à aller de l'avant même quand ils n'ont plus rien, même quand ils n'ont plus rien dans le sang.